Pas Un Garçon : Avis Personnel
Emmanuelle Mottaz connue simplement sous son prénom, est une chanteuse française née le 19 juillet 1963. Elle a connu un succès impressionnant et éphémère dans les années 80, notamment en 1986 en interprétant le titre « Premier Baiser », bande originale de la série du même nom ayant fait les beaux jours d’AB Productions.
Lancée par Jean-François Porry, l’homme qui révéla Dorothée, elle sort son premier album, Premier Baiser, quelques mois après le succès du titre phare éponyme. Invitée régulière du « Club Dorothée » et des programmes dérivés tels le « Jacky Show » et « Pas de pitié pour les croissants », Emmanuelle sort son second album, Ce n’est qu’un voyou en 1987.
Mais à la fin des années 1980, la jeune chanteuse choisit de se détacher de l’image acidulée et enfantine d’AB Productions. Après un séjour aux Etats-Unis, Emmanuelle enregistre l’album Tu seras à mes pieds (Poor rotten baby). Plus mâture et ambigu, ce disque n’obtient pas le succès escompté. Le public n’est pas au rendez-vous. Malgré une promotion importante, les ventes ne décollent pas.
Emmanuelle Mottaz finit par abandonner la chanson et se tourne vers l’écriture de scripts. Elle continue cependant à travailler pour AB Productions en devenant scénariste pour des séries comme Les Filles d’A Côté et Les Vacances de l’Amour.
Paroles
T’es belle, t’es si belle
Que ça m’rend toute heureuse
T’es celle pour laquelle
Je m’sens toute amoureuse
Tant pis si tu n’es pas un garçon
Je t’aimerai à ma façon
On n’commande pas les sentiments
Avec l’état civil, Maman
T’es douce, comme le miel
Plus farouche, qu’une gazelle
T’es tendre et fragile
Pour me rendre docile
Tant pis si tu n’es pas un garçon
Je t’aimerai à ma façon
On n’commande pas les sentiments
Avec l’état civil, Maman
Je t’aime quand bien même
Ca pourrai déranger
J’ai l’âge, le courage
De le dire sans rougir
Tant pis si tu n’es pas un garçon
Je t’aimerai à ma façon
On n’commande pas les sentiments
Avec l’état civil, Maman
Tant pis si tu n’es pas un garçon
Je t’aimerai à ma façon
On n’commande pas les sentiments
Avec l’état civil, Maman