Self Control

Deux lesbiennes fantasme masculin par excellence

Année de Production : 2002

Date de Sortie : 04 Juin 2003

Réalisation : Peter Segal

Scénario : David Dorfman

Avec : Adam Sandler (Dave Buznik), Jack Nicholson (Buddy Rydell), Marisa Tomei (Linda), Heather Graham (Kendra), Luis Guzman (Lou), Woody Harrelson (Galaxia), John C. Reilly (Arnie Shankman), Harry Dean Stanton (l’aveugle), John Turturro (Chuck), Krista Allen (Stacy), January Jones (Gina)

Nationalité : Américaine

Genre : Comédie

Durée : 1h 41min.

Titre Original : Anger Management

Self Control : Résumé

Dans Self Control, Dave Buznik est un homme doux, calme et gentil qui fuit toutes les situations conflictuelles. Un jour, alors qu’il embarque dans un avion, tout se ligue contre lui, de sa place qui est déjà prise, à son voisin, aux hôtesses de l’air. Victime d’une altercation involontaire, il se voit obligé de suivre une thérapie comportementale s’il veut éviter la prison.

Le docteur Buddy Rydell se charge des groupes de soutient. Conscient qu’il y a beaucoup de travail à faire avec Dave, il décide d’emménager chez ce dernier. Le cauchemar commence pour le jeune homme qui au lieu de se calmer et d’apprendre à se contrôler, devient de plus en plus énervé et furieux.

Dans Self Control, Dave Buznik est un homme doux, calme et gentil qui fuit toutes les situations conflictuelles. Un jour, alors qu'il embarque dans un avion, tout se ligue contre lui, de sa place qui est déjà prise, à son voisin, aux hôtesses de l'air. Victime d'une altercation involontaire, il se voit obligé de suivre une thérapie comportementale s'il veut éviter la prison. Le docteur Buddy Rydell se charge des groupes de soutient. Conscient qu'il y a beaucoup de travail à faire avec Dave, il décide d'emménager chez ce dernier. Le cauchemar commence pour le jeune homme qui au lieu…

L'avis d'Univers-L

Scénario/Réalisation
Casting
Lez/Bi Quantité
Lez/Bi Qualité

Résumé : Sans intérêt. Passez votre chemin.

Note des lectrices : Soyez la première !
33

Une Comédie américaine qui ne vaut le détour que pour une seule et unique raison : Jack Nicholson. L’acteur est fantastique et hilarant. Adam Sandler se débat bien mais le scénario n’est parfois pas à la hauteur. On rit quelquefois et on sourit mais le tout est très formaté et tourne à vide à certains moments.

Il y a deux lesbiennes dans le film. Deux stars du porno, Stacy et Gina qui sont très amoureuses l’une de l’autre. Elles sont présentes à la thérapie de contrôle de la colère parce qu’elles ont eu une disputent violente après avoir couché avec un homme. Elles couchent avec des hommes parce qu’elles aiment la « variété ».

Gina et Stacy s’embrassent passionnément lors de la séance de thérapie comportementale. Tous les hommes de l’assistance sont sous le charme et demandent au docteur de ne pas les arrêter parce qu’ils apprécient beaucoup. Le fantasme masculin dans toute sa splendeur. Deux belles femmes sexy et hot qui s’embrassent, sont habillées très courts et adorent flirter avec des mâles. Le rêve de beaucoup d’hommes.

Loin d’être vraiment réjouissant. Bourré de clichés et assurément pas le film comique du siècle. Passez votre chemin.

Self Control : Critiques Presse et Récompenses

« La qualité des scènes est très inégale, les meilleures étant dues à l’énergie irrésistible (des sourcils) de Nicholson (…) mais pendant que certains gags font mouche, d’autres font franchement grincer les dents. » Christian Jauberty (Première)

« Self Control peut aussi se regarder comme le premier film de l’après-guerre en Irak. (…) A travers Adam Sandler, c’est tout un pays qui semble en quête d’une cure de self-control, contraint de maîtriser ses nerfs et de canaliser sa colère. Pour combien de temps encore ? » Samuel Blumenfeld (Le Monde)

« En dépit d’un scénario laborieux, cette Comédie comporte quelques scènes fort drôles. Le mérite en revient bien sûr à ses deux interprètes principaux. » La rédaction (Le Parisien)

« Malgré un bon casting, rien d’original dans cette Comédie très série B. » La rédaction (Le Figaroscope)

« Une Comédie psy farcie de gags plus ou moins inspirés, qui se raccroche au show décoiffant de Mister Jack. » Olivier Petit (Ciné Live)

« Grosses ficelles et cabotinage éculé (les grimaces de Nicholson font peine à voir) dans cet hymne limite beauf qui confond tout. » Jacques Morice (Télérama)

« On retrouve dans Self Control toute la naïveté du cinéma hollywoodien qui croit pouvoir traiter des problèmes humains en deux coups de cuillère et à l’aide d’un grossier cours de psychologie. Une approche résolument positiviste qu’il faut être capable d’intégrer si l’on veut entrer dans le film… » Elysabeth François (Chronic’art.com)

Self Control : Extraits

BUDDY  : Ok, poursuivons les présentations avec les autres membres du groupe. Les filles, dites dont à Dave ce qui vous a amené ici. Je suis sûr qu’il adorerait entendre ce que vous avez à lui dire. Nous, ça nous plait toujours. (Rires de l’assistance) Approche-toi, Dave. Joins-toi à nous.
STACY  : Nous, on est dans l’industrie des films pour adultes.
GINA  : Et on s’aime aussi.
STACY  : Ouais. Et un jour, Gina a baisé avec un Philippin, c’était Milo. Ce qui est tout à fait cool parce que c’était écrit comme ça.
DAVE  : Bien sûr.
GINA  : Et Milo est venu à la maison avec nous ensuite. Ce qui est cool aussi car nous on adore la variété.
CHUCK  : La variété. Oh oui !
STACY  : En tout cas, au milieu de la séance, je jette un coup d’oeil et puis là je vois Gina et ce Milo qui s’embrassent ce qui est tout à fait pas cool parce que c’est une violation de notre code d’éthique.
GINA  : Elle m’a mordue et coupé l’orteil.
STACY  : Et alors Milo a piqué une crise et m’a traitée de garce.
GINA  : Et y a personne qui traite ma vache de garce.
STACY  : C’est vrai.
GINA  : Et je lui ai agrafé les lèvres.
STACY  : Et nous voilà.

A propos de Isabelle B. Price

Créatrice du site et Rédactrice en Chef. Née en Auvergne, elle s’est rapidement passionnée pour les séries télévisées. Dès l’enfance elle considérait déjà Bioman comme une série culte. Elle a ensuite regardé avec assiduité Alerte à Malibu et Les Dessous de Palm Beach avant l’arrivée de séries inoubliables telles X-Files, Urgences et Buffy contre les Vampires.

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