Marbecca : Marlène et Rebecca font l’amour pour la première fois (épisodes 4092, 4093)

Article lié à la série Verbotene Liebe

Verbotene Liebe - Marlene et RebeccaVerbotene Liebe - Marlene et RebeccaVerbotene Liebe - Marlene et Rebecca

Épisode 4092 (Première partie) : Une jalousie passionnelle

Rebecca est au No limits et discute étoffes au téléphone. Soudain elle aperçoit Marlène rentrer d’un pas décidé. Elles se regardent un bref instant avant que celle-ci ne reparte de plus belle. Rebecca coupe sa conversation quand Tristan vient lui demander quelque chose en tant que meilleure amie de Marlène. Il lui explique qu’il a trouvé une lettre adressée à Marlène ou plutôt un bout où était inscrit « Chère Marlène ». Rebecca, en panique, veut alors tout avouer à son frère. Mais elle se rend compte qu’il pense que c’est Christian qui l’a écrite. Elle lui précise que Christian est gay et heureux avec Olli. Mais Tristan ne peut s’empêcher de douter. Il ne veut pas que tout se brise parce qu’elle n’est pas sincère avec lui.

Rebecca poursuit Marlène à l’extérieur pour lui raconter ce que lui a dit Tristan. Mais Marlène continue de marcher rapidement sans se retourner. Elle sait qu’il pense qu’elle lui ment… Elle reproche à Rebecca de lui avoir écrit cette maudite lettre. Tout ça selon elle pour calmer sa conscience et se sentir mieux. Elle lui dit haut et fort qu’elle aime Tristan et que par sa faute, elle a dû lui mentir. Rebecca regrette de l’avoir mise dans cette situation. Marlène veut qu’elle la laisse enfin tranquille.

Marlène vient au haras voir Christian mais tombe sur Dana. Celle-ci revient de sa tournée européenne. Elles tombent dans les bras l’une de l’autre et Dana lui rappelle avant de partir qu’elles ont un repas familial le soir-même. Marlène révèle à Christian que Tristan les a vus quand il lui a donné la lettre mais que maintenant il croit qu’elle vient de lui et qu’ils ont une relation tous les deux. Christian trouve cette situation absurde et pense que Marlène doit enfin dire ce qu’il se passe à Tristan. Mais Marlène ne veut pas dénoncer Rebecca. Il lui conseille de se décider même si cette décision ne pourra pas faire plaisir à tout le monde.

Tristan rentre dans la chambre et voit Marlène faire sa valise. Elle va dormir chez ses parents. Elle lui explique qu’elle doit honorer l’invitation annuelle de sa famille pour manger des asperges à la sauce hollandaise. Il voit bien qu’il n’est pas invité. Mais Marlène lui précise que ce n’est que pour une nuit et qu’il n’y a pas de quoi en faire un drame. Tristan ne lui fait pas confiance car elle a cessé de parler avec lui et il voudrait bien savoir pourquoi. Mais elle n’a pas le temps et l’embrasse sur la joue avant de partir.

Tristan vient voir Christian au Haras mais il n’est pas là. Il découvre un fax où il voit que Christian a commandé une cambre d’hôtel de luxe pour une nuit avec petit-déjeuner. Il donne la feuille à Héléna pour bien lui prouver qu’il avait raison de penser à une relation entre Christian et Marlène. Mais pour Héléna ce fax ne prouve rien et peut-être que Christian veut faire une surprise à Olli. Tristan pense déjà qu’Olli est aux caraïbes et qu’en plus Christian peut lui faire une surprise dans leur propre appartement. De plus pour lui si Olli peut être romantique, il doute que Christian cet homme de la nature puisse l’être. Héléna le traite de snob mais se félicite de voir son frère garder son sang-froid. Avant il se serait certainement jeté sur Christian. Mais même s’il a un esprit brillant il est encore un peu analphabète en ce qui concerne les sentiments. Il doit apprendre, selon Héléna, à lui faire confiance.

Chez les Wolf c’est la préparation des asperges. Marlène prétexte que Tristan n’est pas venu car il avait d’importants rendez-vous. Viktoria est déçue qu’il ne vienne pas. Kim raconte que Rebecca est désormais son chef chez LCL et que ça lui fait bizarre parce qu’avant elles étaient amies. Soudain on sonne à la porte, c’est Rebecca.

MARLÈNE : Toi !
REBECCA : Salut, tu as peut-être cinq minutes à m’accorder ? Tu as perdu ça tout à l’heure dans la rue (elle lui tend un foulard). Je peux comprendre que tu sois en colère contre moi. La lettre et tout le tracas que ça t’a donné avec Tristan. Tu avais raison, je n’ai vraiment pensé qu’à moi. Je voulais tout garder à l’intérieur. Ce n’était vraiment pas juste. J’aurais dû savoir comment tu allais réagir et que tout ça ne signifiait rien pour toi mais tu me manques en tant que bonne amie. Est-ce que l’on ne pourrait pas reprendre là où l’on s’était arrêtées, enfin avant que tout ne devienne compliqué ?
Viktoria (qui vient va la porte d’entrée) : Rebecca, nous sommes juste en train de préparer des asperges, venez et mangez avec nous ! Il y en a assez pour tout le monde.
MARLÈNE : Non, Rebecca a encore un important rendez-vous, elle m’a juste apporté quelque chose.
VIKTORIA : Oh que c’est dommage, mais peut-être une autre fois. Bye.
MARLÈNE : Oui, alors, prends soin de toi.
REBECCA : Toi aussi.

Elles se regardent un moment dans les yeux avant que Marlène ne referme la porte.

Tristan est au No limits et regarde le bout de papier qu’il a gardé de la lettre. Il prend un briquet et le brule.

Chez les Wolf, tout le monde passe à table. Viktoria est heureuse que toute la famille soit réunie. Thomas est déçu de la non venue de Tristan, ce qui énerve un peu Marlène qui précise qu’ils ne sont pas jumeaux et que chacun fait sa vie. Marlène se lève alors pour aller prendre de l’eau mais en fait prend le foulard que lui a ramené Rebecca et va dans sa chambre avec. Elle s’assoit sur son lit et téléphone à Rebecca mais tombe sur son répondeur.

MARLÈNE : Allo c’est moi Marlène, je…

Mais Marlène ne sachant que dire raccroche.

Elle sort brusquement de la chambre et dit à la famille qu’elle doit partir un bref moment. Sa mère lui dit qu’ils sont en plein repas mais Marlène lui explique qu’elle doit résoudre quelque chose qui ne peut pas attendre.

Épisode 4092 (Deuxième partie)

Rebecca est seule chez elle et essaie de se choisir un DVD, mais tous parlent d’amour. On frappe à la porte, Rebecca pense que c’est Justus et lui crie qu’elle n’a besoin de rien. Mais quand elle ouvre la porte, elle tombe nez-à-nez avec Marlène.

REBECCA : Toi ?
MARLÈNE : J’ai essayé de t’appeler.
REBECCA : J’étais sous la douche
MARLÈNE : J’ai été vraiment dégueulasse avec toi tout à l’heure, je peux comprendre que tu ne voulais pas répondre au téléphone, mais…
REBECCA : Tu ne m’as pas bien écoutée. Je n’ai pas répondu parce que je n’ai pas entendu le téléphone.
MARLÈNE : Je dois te dire encore quelque chose.
REBECCA : Mais en fait tout est dit entre nous
MARLÈNE : Non je vois ça différemment.
REBECCA : S’il-te-plait, je ne veux pas encore entendre des reproches. J’ai franchi une limite et j’ai compris. Donc on en reste là OK.
MARLÈNE : Ce n’est pas pour ça que je suis là. S’il-te-plait.

Chez les Wolf on sonne à la porte. c’est Tristan avec un bouquet de roses rouges. Viktoria lui annonce que Marlène est partie et se demande s’ils ne se sont pas disputés. Viktoria est sûre que Marlène l’attend à Königsbrunn. Il lui offre une rose et lui souhaite une bonne soirée.

Marlène continue son explication.

MARLÈNE : Je voulais te dire que tu me manquais en tant qu’amie, en tant que bonne amie.
REBECCA : Ça sonnait différemment tout à l’heure.
MARLÈNE : Parce que j’étais stupide. Je veux cette amitié, exactement comme tu me la proposé.
REBECCA : Je n’ai plus envie de ce va-et-vient Marlène.
MARLÈNE : De ça je voudrais m’excuser.
REBECCA : Peut-être qu’on devrait accepter que notre amitié soit terminée.
MARLÈNE : Pourquoi, on s’entendait si bien.
REBECCA : Oui jusqu’à ce que je commence à cacher mes sentiments.
MARLÈNE : Mon dieu j’étais stressée à cause de Tristan, parce qu’il pensait que j’avais une aventure avec Christian et que je ne lui avais pas dit la vérité. Tu es sa sœur, est-ce que je devrais te dénoncer ?
REBECCA : Oui je n’aurais jamais dû te mettre dans cette situation. Tu étais sincère, c’est OK.

REBECCA : D’où vient ce brusque changement d’attitude ?
MARLÈNE : Avant, quand je t’ai envoyé promenée, j’ai alors réalisé combien tu comptais pour moi.
REBECCA : Je n’en peux plus, un pas en avant, deux en arrière, je ne peux plus le supporter.
MARLÈNE : Je suis désolée, je ne voulais vraiment pas te blesser.
REBECCA : Si aujourd’hui tu le voulais, mais je ne veux plus que ça me rende malade. Occupe-toi de ta relation avec Tristan et oublie ce que je t’ai dit sur moi et mes sentiments, OK ?
MARLÈNE : Rebecca !
REBECCA : Non, on devrait vraiment en rester là, va-t’en maintenant, s’il-te-plait.

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A propos de Nathalie Danel

Chroniqueuse et Traductrice Allemand

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