En écoutant une certaine fréquence radio , car j'ai un vieux pote qui travaille pour cette station en tant que chroniqueur dans le domaine des festivals, et pour une autre raison qui fait que le monde est décidément petit
, je me suis penchée sur une pièce dont l'histoire, tirée d'un fait réel, m'a estomaquée. Pourtant, plus rien ne m'étonne sur la nature humaine et surtout pas sa folie assassine, née de paradoxes de malades mentaux et d'une violence innée, réfrénée parfois par une quelconque morale imposée, mais vite contournée par le biais-même de ces principes moraux supposés sauvegarder la vie .
Aussi, au nom d'une religion, d'une philosophie , l'humain sous couvert d'une prétendue légitimité à l'ignominie dont il est coupable, se laisse aller à ses penchants de viles prédateurs, comme au temps des arènes rougies du sang des esclaves-combattants et autres martyres dévorés par les lions .
Aujourd'hui, nous avons le football, certes plus civilisée comme activité, à condition que les services d'ordre empêche Biensûr l'envahissement du terrain par des supporters féroces, en mal de bagarres, voire de tueries. Dans cette pièce, qui prend date au Moyen-âge, nous assistons à une terrible représentation sur la mort du Sauveur, sacrifié sur l'autel de cette même violence maladive, une terrible représentation puisqu'il il ne s'agit pas de simuler la crucifixion, car alors il était presque sacrilège de faire semblant . Aussi, pour être dans le bon ton, l'acteur malgré lui, un condamné à mort prêté à cet effet, sera réellement supplicié . ..
la cruci-fiction ( que j'aurais nommée moi , La Crue Si Fiction