Riposte de Netflix à HBO
Je ne l'avais pas vu venir celui-là! Nous suivons donc ce coup de foudre dès les premières minutes et restons presque 2 heures à se dire et à se répéter
que cela va mal finir : hé bien pas tout à fait Et, je ne vous dis pas les grincements de dents à certains moments qui m'ont franchement fait douter d'un énième film lesbien qui se termine...
Certes, ce film n'est pas un chef-d’œuvre cinématographique mais bon point me concernant, c'est un film en noir et blanc qui aurait pu néanmoins tirer sur du sépia, style début de la photographie.
Style bien dépouillé qui se moque des artifices actuels, çà fait un bien fou. Histoire à la base, très simple et qui prend de l'ampleur au fur et à mesure des conséquences de leur liaison en ce début du 20ème: premier couple lesbien à se marier "devant Dieu" quitte à se travestir
Et lorsqu'en plus, ces dames ont existé...Quel amour et quel courage
Sur la symbolique de ce céphalopode...Comme toi, cela m'a aussi interpellé étant donné que l'on en voit plus d'un dans ce film . Serait-ce un indicateur, l'annonce-même d'un nouveau genre de préliminaire ...
puisqu'il a quand même fini dans un gros plan à trois ...
ou alors plus classiquement, l'imagerie de la possession
Tout ce que cela aura réussi à faire est de me dégoûter profondément du film...
Aussi
j'ai trouvé la première scène intime trop longue, complaisante, trop vite amenée, et pas tres réaliste dans la mesure où les personnages sont sensés tout découvrir (à moins qu'elles ne se soient séparément entraînées les trois ans auparavant ). Bon, ce n'est pas du niveau de Kechiche (heureusement ), et la longue scène était aussi due aux corsets (cela prend du temps, ce truc ! ) mais tout de même... J'aurais préféré plus d'émotion pure que de nudité. J'ai trouvé que cela manquait de tact.
Manque de tact, c'est certain et je trouve même que c'est assez répétitif au niveau du 7eme art sur les scènes intimes...Lorsque tu parles de corset, tout de suite me viennent les images de Mademoiselle, Gentleman Jack...Cela incite à la rêverie . Quant à la précocité de ces deux demoiselles, il est vrai que pour une première fois...
Moi je suis bien impressionnée par le courage de ces deux femmes. J'étais surprise par ce poulpe aussi qui n'a pas vraiment embelli la scène pour ma part, bien au contraire
C'était quand même des femmes spéciales et qui aimaient bien jouer (Y a pas eu que le poulpe ) C'est loin d'être un scénario de ouff mais c'est inspiré d'une histoire vraie, et ça c'est touchant quand même vu ce qu'elles ont enduré à cause de leur homosexualité.
" Far away there in the sunshine are my highest aspirations. I may not reach them, but I can look up and see their beauty, believe in them, and try to follow where they lead."[ Louisa May Alcott ]
Sur la symbolique de ce céphalopode...Comme toi, cela m'a aussi interpellé étant donné que l'on en voit plus d'un dans ce film . Serait-ce un indicateur, l'annonce-même d'un nouveau genre de préliminaire assurance décès ...
puisqu'il a quand même fini dans un gros plan à trois ...
ou alors plus classiquement, l'imagerie de la possession
Parait il qu'ils vont sortir un deuxième volet, mais ce n'est pas encore sûr.
Ouh la une deuxieme partie? Ou un remake peut etre ?
J'avoue que je l'avais regardé suite au post de casca et le seul souvenir qu'il me reste est une impression de lenteur incroyable et de jeu d'acteur moyen.
“My silences had not protected me. Your silence will not protect you.” Audre Lorde
"Disrespect invites disrespect. Violence incites violence. When the powerful use their position to bully others, we all lose." Meryl Streep