si c' est le message qui est retenu, alors je comprends que vous accueilliez ce livre aussi favorablement, et je ne prolongerai pas davantage mon incrustation dévavorableSilverring a écrit :On est mis en situation de responsabilité face aux libertés dont on se prive en ayant intégré une forme de norme sociale.
justement à l' adolescence, je dirais non, la mini-jupe n' est pas sans rapport avec la découverte/les expériences des pouvoirs séducteurs, les ados ne sont pas innocentes. Mais c' est un point de vue, d' accord, peut-être que ca se discute. Goût perso ou pas, la mini-jupe est un habit de fille, alors la contradiction est au moins là, elle s' habillait déjà avec des tenues de filles.Heu, peut-on porter des mini-jupes par goût personnel sans penser à un rapport de séduction, qu'on ait 14 ans ou pas ? Pour moi la réponse est oui. Du coup, en prenant en compte ces éléments de contexte, je ne lis pas de contradiction dans ce que tu rapproches.
dans le cas que je cite, Virginie Despentes "rapportait la pensée" des hommes qui font appellent au service des prostituées, je ne généralise pas, faudrait que je cite la page alors... plus tard peut-être.Encore une fois, prendre garde au contexte. Tous les hommes ne recourent pas à des services sexuels. Donc, déjà, penser que "hommes" et "clients" se recouvrent complètement, c'est plutôt ça qui m'évoque une forme de généralisation...Autre contradiction: cette idée que les hommes insultent les putes: fais ce que je veux et je te crache après à la figure, mais elle écrit auparavant que la majorité de ses clients étaient respectueux envers elle, ils avaient besoin d' attention, de se confier tout ca...
je le lis en francais, et j' étais dans de bonnes dispositions au départ, sincèrement.Bref, je me demande dans quelles dispositions tu lis ce livre, et d'ailleurs, le lis-tu en français ? (elle a dit grand mal de certaines traductions)
Je reviendrai prendre le temps de citer les passages qui me font dire qu' elle généralise, et beaucoup trop à mon goût.
Je trouve que ce livre gagnerait à rester dans le cadre de la biographie, son témoignage suffirait à ce que le lecteur se pose des questions. Je crois.