Il s’agit de The Ballad of Genesis and Lady Jaye. Je vous copie la description d’Allociné :
Il ne s’agit pas d’une remise en cause « volontaire » du genre dans ce cas précis mais je trouve que ce documentaire fait souffler un bon vent de liberté. Je trouve certains passages totalement libérateurs. Il montre bien que l’on vit pour soi, que le regard de l’autre est souvent un poids mais qu’il est possible d’en faire abstraction et que l’on peut se libérer même de l’emprise la plus pesante.The Ballad of Genesis and Lady Jaye retrace l’histoire hors du commun de l’artiste Breyer P-Orridge Genesis et de sa femme et partenaire artistique, Lady Jaye Breyer P'Orridge, qui par amour ont décidé tous deux de se fondre en une seule entité. Artiste majeur de l’avant-garde new-yorkaise de ces 30 dernières années, considéré comme l’un des pères de la musique industrielle, Breyer P-Orridge Genesis a défié les limites de l’art et de la biologie. En 2000, il débute une série d’opérations (plastiques) afin de ressembler trait pour trait à sa femme, une performance risquée, ambitieuse et subversive. The Ballad of Genesis and Lady Jaye relate cet acte ultime d’amour et de dévotion.
Après, tout est discutable : les raisons, peut-être aussi les moyens mis en place d’ailleurs. Mais j’aime aussi la radicalité de la démarche même si je n’ai pas adhéré à tout. C’est déstabilisant…
Si vous avez l’occasion…