Justement, Brigitte Macron n'a pas attendu de ne plus être l'enseignante d'Emmanuel, et c'est là que le bât blesse.Mira2012 a écrit :On ne sait meme pas quel age avait l'élève, si?
J'imagine que si j'avais été a la place de la prof, j'aurais aussi coupe court. Ou alors peut-etre alors aurais-je fait comme Brigitte Macron, et j'aurais attendu tranquillement de ne plus être sa prof. Cela dit, c'est toujours facile de juger quelqu'un alors que l'on est pas dans ses baskets.
Et tout cela avec la complicité de l'enseignement religieux en France, Brigitte Macron était enseignante dans un établissement jésuite lorsque c'est arrivé et il faut savoir que le divorce et le statut de "femme séparée" sont interdits dans le catholicisme (mais pas la pédophilie visiblement!), or Brigitte Macron a quand même quitté mari et enfants (ô l'irresponsable!) pour aller rejoindre son amoureux à Paris et cela ne l'a pas empêchée de trouver du travail dans un autre établissement jésuite, assez prestigieux d'ailleurs du 16 ème arrondissement.
Bien sûr que non qu'il ne s'agit pas de juger.
Je connais des personnes à qui c'est arrivé mais qui ont eu l'honnêteté de démissionner de leur poste (effectivement, se taper ses élèves est assez incompatible avec la responsabilité de prof fonctionnaire d'état), d'attendre que l'enfant grandisse et finisse ses études avant de partir discrètement vivre des jours heureux loin du lieu où les gens gardent mémoire de l'événement.
Ici, ce qui me dérange, c'est que cela soit érigé au rang de modèle et de normalité ....