Re: Venez commenter les news du site
Posté : mer. 21 nov. 2012 17:48
Je n'ai pas vu ce court métrage, je n'avais pas lu cette fiche et je ne connaissais pas Katerina Thomadaki... je suis partie à la recherches d'infos et j'en ai trouvé des plus intéressantes.
Je voulais juste ajouter ce petit lien qui permet d'avoir un autre résumé personnel:
http://www.klonaris-thomadaki.net/36syn.htm
Peut-être que mon côté maso est celui qui me donne envie de voir ce court-métrage, qui me semble assez symbolique avant tout(?). J'aime l'idée qu'il y ait plus des interrogations que des certitudes.
Et même sans avoir vu le petit film, avec ce que je lis, je me dis que peut-être ces 18 minutes de chutes représentent, un parcours, une vie... et la vie n'est pas qu'une marche continue. On cherche même des fois dans notre tête à faire des projections et rembobiner des moments de notre vie, mais avec les données qui peuvent s'embrouiller à force dans notre cerveau, tout en devenant pénibles. J'ai l'impression qu'on est dans une sorte de métaphore à travers ce court-métrage.
Enfin là, j'ai l'impression d'être aveugle, ne pas avoir vu les images et justement faire mes interprétations avec ce que je peux avoir comme éléments ce qui est des plus délicats...
Tout ça pour dire que cette exploration corporelle violente à travers un mvt répété et retravaillé, m'intéresse
Et quand je lis dans la fiche "Tout bouge. Trop, même. Très vite, les acrobaties ne sont plus cadrées, et l’on se surprend à vouloir attraper la caméra, la remettre dans l’axe, afin de capter l’étrange danse de l’artiste." "Un silence qui devient étouffant, à la longue" je me demande justement à travers ce court métrage, est-ce que la réalisatrice, ne cherchait-elle pas à atteindre corporellement les spectateurs? que chacun soit dans sa propre chute... enfin, là ce sont mes suppositions dans le flou.
Il semblerait donc que cette fiche ne laisse pas indifférent, en provoquant soit rire ou soit l'envie d'approfondir.
Merci alors pour le partage.
Et juste un petit dernier truc, avec ce qui est dit et que je ne peux pas voir, même si ça ne dure que 4 mn, je repense à cet extrait, dans l'idée d'un rapport au corps brutal :
http://www.youtube.com/watch?v=F7VqAK3WI3Y
Je voulais juste ajouter ce petit lien qui permet d'avoir un autre résumé personnel:
http://www.klonaris-thomadaki.net/36syn.htm
Peut-être que mon côté maso est celui qui me donne envie de voir ce court-métrage, qui me semble assez symbolique avant tout(?). J'aime l'idée qu'il y ait plus des interrogations que des certitudes.
Et même sans avoir vu le petit film, avec ce que je lis, je me dis que peut-être ces 18 minutes de chutes représentent, un parcours, une vie... et la vie n'est pas qu'une marche continue. On cherche même des fois dans notre tête à faire des projections et rembobiner des moments de notre vie, mais avec les données qui peuvent s'embrouiller à force dans notre cerveau, tout en devenant pénibles. J'ai l'impression qu'on est dans une sorte de métaphore à travers ce court-métrage.
Enfin là, j'ai l'impression d'être aveugle, ne pas avoir vu les images et justement faire mes interprétations avec ce que je peux avoir comme éléments ce qui est des plus délicats...
Tout ça pour dire que cette exploration corporelle violente à travers un mvt répété et retravaillé, m'intéresse
Et quand je lis dans la fiche "Tout bouge. Trop, même. Très vite, les acrobaties ne sont plus cadrées, et l’on se surprend à vouloir attraper la caméra, la remettre dans l’axe, afin de capter l’étrange danse de l’artiste." "Un silence qui devient étouffant, à la longue" je me demande justement à travers ce court métrage, est-ce que la réalisatrice, ne cherchait-elle pas à atteindre corporellement les spectateurs? que chacun soit dans sa propre chute... enfin, là ce sont mes suppositions dans le flou.
Il semblerait donc que cette fiche ne laisse pas indifférent, en provoquant soit rire ou soit l'envie d'approfondir.
Merci alors pour le partage.
Et juste un petit dernier truc, avec ce qui est dit et que je ne peux pas voir, même si ça ne dure que 4 mn, je repense à cet extrait, dans l'idée d'un rapport au corps brutal :
http://www.youtube.com/watch?v=F7VqAK3WI3Y