A l'origine ça concernait principalement le fanservice dit ecchi mais des oeuvres comme Neon Genesis Evangelion ou La Mélancolie de Suzumiya Haruhi ont populariser d'autres types de fanservice comme les références occultes que seul un otaku verra, la présence de certains personnages moe, et tout autre clin d'oeil pour le fan. On trouve d'ailleurs beaucoup de fanservice yuri dans les animes pour otakus (Magical Lyrical Nanoha) où on sent que ce n'est là que pour faire plaisir au fan.
Mais pour ta question, je pense qu'il s'agit d'un comique de répétition.
Mouais, entre fans, on se comprend mais tu ne trouveras rien dans le commerce titré de shoujo-ai (déjà que les éditeurs confondent parfois shônen et shôjo). Seulement Yuri. Or si X pense que le yuri c'est que du sexe et pour les mecs, il risque de passer à côté de beaucoup.Je crois en effet que ces termes sont très bien implantés dans le vocabulaire de la japanimation en occident. Ils ont l'avantage, il me semble, de permettre de s'y retrouver un peu plus facilement dans l'offre très diversifiée existante.
D'autant que dans le monde des mangas, on ne classe pas les oeuvres par genre (il y en aurait trop) mais par public concerné (ado, adultes, filles, garçons, et depuis peu mixte).
Et pourquoi parler de shoujo-ai quand finalement ça renvoi ni plus ni moins qu'au subtext ?