Moque-toi, ça ne durera pas bien longtemps...Arth a écrit : Pauvre Alex...
Ben, alors en ce qui me concerne pas du tout. je ne crois pas que je réagis pas très différemment que quand je lis. Donc que j'ai crée ou non mon personnage ne change rien.mais j'imagine que ce doit être une poussée d'adrénaline de faire mourir et souffrir ses personnages, un bien nécessaire à son propre salut, un défouloir . C'est comme mourir soi-même un peu, mais sans les conséquences du suicide.
Je pleure comme une madeleine (c'est génial dans le métro, ou quand je lis ou écris en public !).
Ca peut me déprimer aussi.
J'écris parfois des scènes assez violentes... enfin carrément violente, disons le ! Ca ne me défoule pas du tout. Ca draine toute mon énergie.
Je ne sais pas si c'est vrai, mais l'idée est de montrer le monde tel qu'il est, ou qu'il a été, la boue et les eaux plus claires et plus tranquilles. C'est peut-être juste une image que je me fais du monde et de l'humanité, des gens. Mon regard posé sur eux.
Quand c'est positif une grande partie est vécu (par moi ou d'autres), fantasmer peut-être un peu. Ce qui a été et ne sera plus, ce qui aurait pu être et n'a jamais et ne sera jamais.
(Parfois, je me dis que c'est quand même horrible... que je dois être une psychopathe en puissance.)
Bref...
Ah... 100 000 mots....
(Dieu, que c'est horrible, je transpire déjà...
Tu arrives à véhiculer les expériences positives que toi ou d'autres ont vécu, c'est rare. Pour ma part, c'est le contraire. Ce sont surtout les émotions négatives qui m'inspirent et en général, le positif est imaginé. L'inverse arrive mais c'est généralement le cas. Pour ce que vivent les personnages, je ressens tout ce qu'ils traversent. Pour le dire vulgairement: j'ai zéro filtre.
Que ce soit un livre que je lis, un film que je regarde, un jeu auquel je joue ou une histoire que j'écris (c'est pire quand je l'écris ceci dit). Et ce n'est pas uniquement pour la mort d'un personnage, c'est vraiment tout ce qu'il ou elle traverse. Du coup, j'évite les trucs un peu trop violents parfois, ou alors il me faut une bonne préparation psychologique car je vais tout vivre à 200%.
Pour Solipsis, ce n'est pas prévu dans l'immédiat. J'avais écrit cette histoire sans réfléchir, pensant que c'était une bêtise qui passait par là. Je n'avais pas imaginé que l'histoire aurait pu plaire, donc je n'avais pas de plan précis en tête quand je l'ai écrit. Mais parfois ça vient sans raison, je la finirai peut-être du coup mais ce n'est pas prévu.Nightingale a écrit :AlexKidd a écrit :Non, non pas du tout. Mon "souci" contrairement au tien, c'était d'allonger mon histoire, je me suis donc forcée à écrire des chapitres de 10 000 mots (un vrai jeu d'enfants, surtout quand je me disais "ouais je vais finir le chapitre là-dessus..." pour vérifier le nombres de mots et me dire : " Eh ben non, il reste encore 5000 mots à écrire avant de passer au suivant !... Essais encore ! Aargh...").C'est une pique ?
En fait, c'était plus une note d'espoir, si ça a marché pour allonger mon récit, ça pouvait peut-être aussi marcher pour raccourcir le tien:)
Merci:)( Félicitations pour tes 100k mots : p )
Question : Je n'ai pas encore commencé la Vallée des Cendres, parce que j'attends qu'elle soit terminée (au niveau de la publication) mais est-ce que Unkind et Solipsis auront une fin ?
Ah ! Et aussi tu parlais d'une chanson qui t'avais donné envie d'écrire La Vallée des Cendres, je suis curieuse, je peux te demander laquelle, ou c'est trop indiscret ?
Arthémis a écrit :
M'euh non... qu'elle idée !(Parfois, je me dis que c'est quand même horrible... que je dois être une psychopathe en puissance.)
M'ouahaha !!!!(Dieu, que c'est horrible, je transpire déjà...
Pour Unkind, oui par contre. J'avais déjà imaginé l'histoire et je sais comment je voulais la clôturer. C'est juste que LVDC me trottait dans la tête depuis longtemps, et quand je me suis aperçue que des éléments de LVDC se greffaient dans Unkind, j'ai compris que je voulais vraiment écrire LVDC et pas autre chose sur le moment. Donc j'ai mis Unkind en pause le temps d'écrire LVDC.
Pour la Vallée des Cendres, j'ai entendu la chanson qui m'a inspirée cette histoire par pur hasard. Mais je ne vais pas pouvoir te la donner car les paroles révèlent toute l'histoire, bon sang. Tu n'aurais aucune raison de lire après ça