In Twilight’s Shadow : Résumé
Carlisle Braedon est une immortelle qui vit depuis des années entre le bien et le mal. Un jour, elle croise la route d’une mortelle, Sienna, à laquelle elle vient en aide. Cette dernière se retrouve alors au cœur d’une bataille qui dure depuis des décennies entre les humains et les immortels.
Confrontée à l’enlèvement de Sienna par celui qui a fait d’elle une immortelle, Carlisle est obligée de s’élever contre ceux de son propre clan pour sauver la femme qu’elle aime…
L'avis d'Univers-L
Scénario/Réalisation
Casting
Lez/Bi Quantité
Lez/Bi Qualité
Résumé : Moyen aujourd'hui...
In Twilight’s Shadow : Avis Personnel
Dire que j’ai adoré In Twilight’s Shadow est un doux euphémisme. Je suis ressortie conquise de ce visionnage au point de le regarder une nouvelle fois juste derrière. Ben oui, quand même, deux fois à la suite et vous obtenez un moyen-métrage. Non, trêve de plaisanterie, après ces douze minutes, la première chose que vous faites c’est de vous réinstaller dans votre siège en attendant confortablement la suite de l’histoire. Ben oui, c’est juste le début, l’introduction, l’origine. Il faut une suite !
Une suite qui est d’ailleurs en préparation d’après ce que T.M. Scorzafava a dit elle-même. Et ça, c’est une excellente nouvelle !
Que dire de l’histoire ? C’est une histoire de vampires, de démons, d’immortels aux supers pouvoirs. Un soupçon de surnaturel donc, dans les bas fonds d’une grande ville anonyme, au cœur de la nuit. Une héroïne sexy en diable que vous rêvez de voir botter des fesses. Et ça tombe plutôt bien parce que justement, quand elle se réveille, elle doit aller se battre pour sauver l’amour de sa vie. Et l’amour de sa vie vous savez qui c’est ? Non ? C’est une femme ! Ah la classe totale !
En clair, tout pour me plaire. Du surnaturel, une héroïne sexy, une victime au regard débordant de peur et un méchant tatoué très cruel. Le tout soutenu par une musique vraiment réussie et rythmée en accord avec le côté fantastique du court-métrage qui fait que vous adhérez complètement à cet univers. Et que dire des effets spéciaux. Ils sont extrêmement impressionnants pour un court-métrage. J’ai tellement apprécié la qualité et le niveau que la première question que je me suis posée c’est « Mais ils disposaient d’un budget de combien ? »
Une perle dans le paysage des courts-métrages lesbiens parce que c’est bien la première fois que je vois une super héroïne lesbienne aussi sexy et charismatique qui combat les forces du mal. Je veux, je veux, je veux…
Seul bémol et de taille, la moto. Non mais sérieusement, vous êtes une immortelle à couper le souffle, il vous faut une moto qui déchire tout. Celle-là était trop ordinaire. C’est le seul reproche que je peux raisonnablement me permettre.
Je n’ai qu’une chose à dire : Merci Tina !
Pour celles qui ne pourraient résister, voici un lien d’un intérêt majeur qui vous permettra de voir le court-métrage : Cliquez sur Watch It !
In Twilight’s Shadow : Critiques Presse et Récompenses
Sélection Officielle au Festival Ann Arbor du Michigan.
Sélection Officielle au Festival L.A. Shorts de Los Angeles.
Sélection Officielle au Festival du Film d’Horreur de Rhode Island.
Sélection Officielle au Festival du Film Mix Brasil de Sao Paulo.
Sélection Officielle au Festival du Film Gay & Lesbien de Miami.
Sélection Officielle au Festival du Film Gay & Lesbien de Philadelphia.
Sélection Officielle au Festival du Film The Affirmations de Washington D.C.
Sélection Officielle au Festival du Film Out Takes de Dallas.
Sélection Officielle au Festival du Film Frameline32 de San Francisco.
Sélection Officielle au Festival du Film Gay & Lesbien de Caroline du Nord.
Sélection Officielle au Festival du Film LGBT de Seattle.
Sélection Officielle au Festival du Film Fire Island de New York.
In Twilight’s Shadow : Extraits
« Maintenant, un an plus tard, elle est tiraillée entre le bien et le mal. Ce soir va débuter notre histoire, une nouvelle histoire. »
ARISTOTLE : Ta place n’est plus ici Carlisle.
CARLISLE : Ce n’est pas non plus celle de Sienna. Je veux qu’elle revienne.
ARISTOTLE : Ce que tu veux n’a pas d’importance. Tu n’es plus l’une d’entre nous dorénavant.
CARLISLE : Je ne l’ai jamais été.