Maman A Tort : Avis Personnel
“Maman a tort” est le premier single de Mylène Farmer. Celui qui la fera connaître dès 1984 et lui permettra de vendre son album, Cendres de Lune. Écrit par Laurent Boutonnat, il marque le début d’une collaboration que l’on connaît très prolifique et réussie.
Dans la plupart de ses textes, Mylène Farmer joue sur l’ambiguïté sexuelle, cachant un double sens dans ses écrits. “Libertine”, “Sans Contrefaçon” en sont quelques exemples.
Soit vous aimez, soit vous détestez ce style et cet univers particulier et personnel. Personnellement, j’accroche bien, mais j’avoue ne pas être une référence en la matière.
Paroles
Un, maman a tort
Deux, c’est beau l’amour
Trois, l’infirmière pleure
Quatre, je l’aime
Cinq, il est d’mon droit
Six, de tout toucher
Sept, j’m’arréte pas là
Huit, j’m’amuse
Un, quoiqu’maman dise
Deux, elle m’oubliera
Trois, les yeux mouillés
Quatre, j’ai mal
Cinq, je dis c’que j’veux
Six, j’suis malheureuse
Sept, j’pense pas souvent
Huit, et vous?
J’aime ce qu’on m’interdit
Les plaisirs impolis
J’aime quand elle me sourit
J’aime l’infirmière maman
Un, j’suis très sereine
Deux, et j’ai bien fait
Trois, d’vous en parler
Quatre, j’m’amuse
Cinq, quoiqu’maman dise
Six, elle était belle
Sept, cette infirmière
Huit, je l’aime
Un, l’infirmière chante
Deux, ça m’fait des choses
Trois, comme l’alouette
Quatre, j’ai peur
Cinq, c’est dur la vie
Six, pour un sourire
Sept, j’en pleure la nuit
Huit, et vous ?
J’aime ce qu’on m’interdit
Les plaisirs impolis
J’aime quand elle me sourit
J’aime l’infirmière maman
Un, maman a tort
Deux, c’est beau l’amour
Trois, l’infirmière pleure
Quatre, je l’aime
Cinq, maman a tort
Six, c’est beau l’amour
Sept, à l’hôpital
Huit, j’ai mal
Un, maman a tort
Deux, c’est beau l’amour…