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Carole Roussopoulos, Une Femme à La Caméra : Résumé
À travers des témoignages d’époque et d’aujourd’hui, la vie de la vidéaste Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo légère et féministe qui se battait pour donner la parole aux minorités ne pouvant s’exprimer.
L'avis d'Univers-L
Scénario/Réalisation
Casting
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Lez/Bi Qualité
Résumé : Le travail d'une femme à découvrir.
Carole Roussopoulos, Une Femme à La Caméra : Avis Personnel
Ce documentaire intimiste nous permet de comprendre comment d’une jeune fille de bonne famille non cinéphile, travaillant à Vogue, Carole Roussopoulos est devenue une féministe traitant des sujets délicats de société : homosexualité, prostitution, féminisme, drogue, sans-abris…
Aucune de ses vidéos n’est passée à la télévision de son vivant. Cela est notamment dû aux sujets assez tabous qu’elle abordait. De plus, ses films, contrairement au standard habituel, laissent beaucoup de place à l’expression des personnes interrogées. Récemment un de ses documentaire a été diffusé pour la première fois sur une chaîne câblée.
J’ai trouvé ce documentaire, que j’ai découvert au vingt-quatrième festival de Cineffable, globalement bien fait. Il retrace son histoire simplement, avec des témoignages sincères de sa famille, amis, collègues. J’ai beaucoup apprécié de découvrir cette femme qui semblait vraiment forte et très impliquée. Néanmoins, j’avoue avoir été parfois perdue lorsque l’on passait sans nous avertir d’un sujet à l’autre.
C’est un documentaire très intéressant qui permet de découvrir cette femme pour qui la caméra était une arme. Il nous donne envie de voir l’un de ses 150 films. Si vous souhaitez vous procurer ce documentaire, il est en vente en dvd au Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir. Pour plus d’informations, cliquez ici.
Carole Roussopoulos, Une Femme à La Caméra : Critiques Presse et Récompenses
Sélection Officielle au Festival du Film de Cineffable 2012.
Carole Roussopoulos, Une Femme à La Caméra : Extraits
CAROLE : La vie dans cette société étant au mieux d’un ennui total.
CAROLE : Je ne suis pas une pionnière du mouvement de libération des femmes.
CAROLE : Mon moteur c’est ma colère.
