The Penny Dreadful Picture Show

The Undead Movie Party

Affiche : The Penny Dreadful Picture Show

Année de Production : 2013

Date de Sortie : 2013

Réalisation : Nick Everhart et Leigh Scott

Scénario : Leigh Scott et Eliza Swenson

Avec : Eliza Swenson (Penny), Jeffrey Combs, Sid Haig

Nationalité : Américaine

Genre : Horreur, Série de Courts-Métrages

Durée : 1h 42min

Titre Original : The Penny Dreadful Picture Show

Fiches Techniques et Résumés

La morte-vivante Penny Dreadful, son copain zombie épris d’elle Ned, et le lycanthrope Wolfboy s’installent dans un vieux cinéma délabré pour regarder trois histoires terrifiantes. Un jeune couple se retrouve traqué par une mortelle jack-in-the-box dans « Slash-in-the-Box » ; Alice, une jeune femme, essaie de comprendre exactement ce qui lui est arrivé la nuit dernière dans « The Morning After » ; et un groupe d’amis rencontrent une famille excentrique de l’arrière-pays après que leur van soit tombé en panne au milieu de nulle part dans « The Slaughter House. »

La morte-vivante Penny Dreadful, son copain zombie épris d’elle Ned, et le lycanthrope Wolfboy s’installent dans un vieux cinéma délabré pour regarder trois histoires terrifiantes. Un jeune couple se retrouve traqué par une mortelle jack-in-the-box dans « Slash-in-the-Box » ; Alice, une jeune femme, essaie de comprendre exactement ce qui lui est arrivé la nuit dernière dans « The Morning After » ; et un groupe d’amis rencontrent une famille excentrique de l’arrière-pays après que leur van soit tombé en panne au milieu de nulle part dans « The Slaughter House. »

L'avis d'Univers-L

Scénario/Réalisation
Casting
Lez/Bi Quantité
Lez/Bi Qualité

Note des lectrices : 4.45 ( 1 votes)
38

Ce film est inspiré du genre littéraire du même nom (Penny Dreadful), inventé au 19e siècle en Angleterre. De la même manière qu’il existe un cinéma de série B, cette littérature était également une littérature de seconde zone, macabre et grossière. Ceux qui recherchent un film d’horreur sérieux comportant un sens aigu du détail, vous pouvez passer votre chemin. The Penny Dreadful Picture Show est une comédie macabre et volontairement grotesque.

Penny est une morte-vivante qui vit avec ses deux amis (un zombie et un loup-garou) dans un cinéma délabré et complètement flippant. Ils s’apprêtent à regarder trois films d’horreur, on pourrait donc dire qu’il y a quatre histoires dans ce film : celle de Penny et les trois que l’on découvre au cinéma en même temps qu’elle.

J’ai beaucoup aimé ce film car il exploite à fond le cinéma de genre, il prend ce parti et le tient jusqu’au bout dans les moindres détails. Je dois reconnaître qu’il faut une bonne dose de second degré pour appréhender le visionnage, mais le résultat est au rendez-vous et j’ai à la fois rigolé et (presque) eu peur ! La dernière histoire « The Slaughter House » avec le van qui tombe en panne au milieu de nulle part dans l’Amérique profonde est certainement la meilleure. On apprend qu’il y a eu une série de meurtres et de disparitions dans la région. Quand le groupe d’amis tombe en panne et est recueilli pour la nuit au sein d’une famille bizarre (qui pratique apparemment l’inceste), on se demande s’ils sont chez les fous furieux qui tuent tout le monde et très vite la soirée dégénère avec un suspense qui reste jusqu’au bout.

Ce film est présent sur le site par rapport à la deuxième histoire « The Morning After ». Une femme se réveille un lendemain de soirée et cherche à se rappeler ce qu’il s’est passé la veille. Elle est nauséeuse et ne se sent pas très bien. Je vous la fais rapide : une femme vampire a jeté son dévolu sur elle et l’a transformée à son tour. Seulement, l’attirance est à sens unique et l’héroïne finira par tuer la méchante vampire pour rejoindre un homme rencontré la veille. Même si j’ai apprécié le film en règle générale, la représentation lesbienne est horrible, à vomir, elle va bien avec le thème du film quoi !  En plus c’est complètement du déjà vu, on avait le même topo avec la vampire méchante qui se fait déglinguer à la fin par une héroïne qui ne voudra pas d’elle dans Nous sommes la nuit et La secte. Passez votre chemin si vous voulez du lesbien qui tient la route, par contre si vous appréciez les nanars ce film est fait pour vous !

The Penny Dreadful Picture Show : Extraits

PENNY: Toute ma non-vie j’ai attendu ce moment. Cette excitation, cette idylle, la magie du premier baiser d’un amour véritable. Ce sera formidable, prodigieux, et complètement merveilleux !

NED: Penny, puis-je vous demander pécisément ou avez-vous trouvé ce Gentleman?

PENNY: Sur internet ! On trouve presque tout ce qu’on veut sur la toile. Allez !

NED: Madame, et si nos invités réagissent mal à qui nous sommes ?

PENNY: Blablabla… Comment ne pas apprécier ?!

A propos de Edwine Morin

Relectrice et Chroniqueuse Occasionnelle. Passionnée par les séries télévisées, elle en dévore depuis des années dans tous les thèmes possibles et ses préférences sont si hétéroclites qu'il est difficile d’en trouver les limites. Romantique dans l’âme, elle a succombé au charme d’I Can’t Think Straight et de Loving Annabelle tout en étant fan du travail de Quentin Tarantino.

3 commentaires

  1. Attention à ne pas confondre la série TV “Penny Dreadful” sortie en 2014 (2 saisons, 10 épisodes chaque), avec Eva Green et Josh Hartnett; et le film “The Penny Dreadful Picture Show” sorti en 2013, dont traite cette fiche film.
    Les photos mélangent les deux titres…

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