Los Hombres de Paco : Episode 05 – Amores Improbables

Réalisatrice : Teresa Muñoz Jandra
Scénaristes : Alberto Úcar, Marc Cistaré

Résumé

Dans la salle de bain de l’appartement de Paco, ce dernier donne à manger au mafioso qu’il a arrêté, menotté sur les WC, pendant que Mariano perce un trou dans le mur de la salle de bain. Don Lorenzo frappe soudain à la porte, il veut utiliser les toilettes. Tout le monde se cache donc sous la douche et Paco fait croire qu’il est seul. Don Lorenzo entre et explique, alors qu’il est sur les WC, qu’il se sent un peu fatigué et qu’il ne va pas aller au commissariat. Devant cette nouvelle, tout le monde est ennuyé. Mariano accroche le mafioso au mur de la salle de bain, grâce au trou qu’il vient de percer puis il détruit les toilettes pour que Don Lorenzo n’entre pas dans la pièce.

Pendant ce temps, Pepa et Silvia déjeunent en tête à tête au bar Los Cachis, très amoureuses l’une de l’autre. Elles sont rayonnantes et discutent amoureusement quand Curtis arrive et les interrompt. Il s’installe à leur table, commande à manger et comprenant leur relation, leur demande de ne pas l’exclure. Il veut faire partie de leur relation et leur propose un ménage à trois. Pepa et Silvia sont des plus surprises et ne réalisent pas ce qu’il vient de leur dire quand il quitte le bar pour se rendre au commissariat.

Chez Paco, Mariano, José Luis et lui ont mis au point un nouveau plan pour que Don Lorenzo ne découvre pas le mafioso attaché dans la salle de bain. En plus d’avoir détruit les WC, ils font croire à la présence d’un rat et mettent des tapettes à souris partout dans la pièce pour que le commissaire ne quitte pas son lit. Aitor arrive pour leur donner un coup de main et quand il croise Sara, arrivée quelques instants plus tard, il l’observe longuement sans rien dire. Cette dernière se précipite alors vers lui et l’embrasse en lui disant qu’elle l’aime. Aitor répond à son baiser et lui avoue qu’il l’aime aussi. Ils se donnent rendez-vous plus tard.

Au commissariat, Montoya voit débarquer trois agents des affaires internes. Il doit leur présenter les dossiers en cours et le personnel. Rita qui l’assiste fait tout pour lui faire comprendre qu’elle est intéressée par lui. Elle lui donne une tape sur les fesses, lui laisse des post-it avec des déclarations d’amour et s’écrit même sur les paupières. Le policier reste pourtant imperturbable.

De leur côté, Paco, Mariano et Povedilla reçoivent un appel des Italiens ayant enlevé Nelson. Prêts à tout pour récupérer ce dernier, ils acceptent un rendez-vous où ils font tout pour assurer la sécurité de leur ami. Ce qu’ils ignorent c’est que pendant ce temps, le mafioso essaie par tous les moyens de se détacher sans y parvenir. De l’autre côté du mur, Aitor et Sara s’embrassent dans l’appartement de cette dernière. Ils sont de plus en plus passionnés et s’adossent au mur quand Aitor s’assomme avec la vis retenant l’homme prisonnier. N’étant dans la confidence, il frappe sur la vis pour l’ôter du mur de Sara et libère Fabrizzio. Trop heureux de sa liberté, ce dernier s’apprête à quitter l’appartement de Paco en douceur quand il se prend les pieds dans une tapette de souris. Sous l’effet de la douleur il saute dans la pièce, glisse et tombe sur la cuvette des WC cassée par Mariano sur laquelle il s’empale. Il meurt, seul.

Don Lorenzo qui est passé devant l’appartement de Sara pour aller aux WC a surpris Aitor embrassant cette dernière. Bouleversé, il est finalement parti travailler au commissariat. Il appelle alors Aitor et lui demande de venir. Ce dernier quitte Sara qu’il n’a cessé d’embrasser et arrive au commissariat où Don Lorenzo lui fait tester le détecteur de mensonge. Là, au lieu de lui poser des questions innocentes, il lui demande s’il a une liaison avec Sara. Acculé Aitor nie mais le détecteur de mensonge laisse comprendre à Povedilla et Don Lorenzo qu’il ment.

Dans son laboratoire, Silvia discute avec Pepa et lui montre son nouveau soutien-gorge. Elle lui demande si son petit ami, Curtiz l’aimerait. Pepa rit, s’approche et lui enlève le sous-vêtement. Elles jouent un instant avant de s’embrasser. La température monte et Curtiz qui passe par là les surprend. Il entre et demande à profiter lui aussi de la situation. Il s’approche de Silvia sous le regard interdit de Pepa et tente de l’embrasser. Dégoûtée Silvia s’énerve et quitte la pièce, énervée.

De retour chez eux, Paco et Mariano découvrent le corps de Fabrizzio. La mort de ce dernier est une malchance terrible étant donné qu’ils devaient l’échanger contre Nelson. Ils sont donc devant un problème insoluble.

Au commissariat, Povedilla découvre un bouquet de roses blanches sur un bureau et, poussé par la curiosité, lit la carte. Il observe Sara et Aitor qui s’ignore dans les locaux de la police et s’empare des fleurs. Il donne le bouquet et la carte à Sara qui s’effondre en salle d’interrogatoire. Il s’approche alors d’elle et lui parle de sa relation avec Rita, de son erreur avec Aitor et de la signification du cadeau est de Lucas. Pendant ce temps, Don Lorenzo qui est au bar Los Cachis, arrête Aitor et discute avec lui.

Montoya découvre que les Affaires Internes ne sont pas là pour une simple visite de routine. Ils sont sur les traces de Fabrizzio. Ils ont en effet l’enregistrement de l’interrogatoire réalisé par Paco et Mariano quelques jours plus tôt.

Après s’être assuré que personne n’est présent dans les vestiaires, Povedilla dissimule une importante somme d’argent dans son casier. Somme qui lui a été remise par Mariano pour libérer Nelson. À cet instant Curtiz entre et une fois Povedilla sorti, crochète le casier de Silvia où il dépose des billets pour un week-end à trois. Lorsqu’il entend la porte s’ouvrir, il se précipite dans une cabine de toilette pour se cacher. Là, il surprend Silvia et Pepa en pleine engueulade. Silvia explique qu’elle ne peut pas supporter cela, que Pepa doit mettre les choses au point avec Curtiz. Pepa est ennuyée, elle ne sait comment faire pour lui avouer qu’elle ne l’aime pas sans le blesser. Curtiz qui comprend son erreur, se met à pleurer. Quand Silvia récupère les billets dans son casier, il sort soudain de sa cachette et les récupère avant de partir. Il sait maintenant qu’il n’a aucune chance avec Pepa.

De son côté, Montoya offre un café à Rita pour lui expliquer qu’elle a dû confondre sa gentillesse avec de l’amour. Il lui confie qu’il est attiré par Marga, mais pas par elle. Rita explique qu’elle comprend, qu’elle s’est méprise et quand Montoya la quitte, se met à pleurer.

Après sa discussion avec Don Lorenzo, Aitor se rend à l’appartement de Sara et frappe à sa porte. La jeune fille lui ouvre. Il l’embrasse mais elle le repousse et il découvre le bouquet de Lucas sur la table basse, dans le salon. Il comprend qu’il l’a perdue.

Au commissariat, les Affaires Internes expliquent à Montoya et Don Lorenzo qu’il se passe quelque chose avec Paco et Mariano. Ils décident de lancer une opération au domicile de Paco alors que ce dernier aidé de Mariano et de Aitor, sort le corps de Fabrizzio sur un fauteuil roulant. Pris au piège, ils lèvent tous les mains en l’air, menacés par leurs collègues…

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