Rizzoli & Isles (Rizzles) : Recap S05E07 – Boston Critique

Episode de la série Rizzoli & Isles  (Saison 5)

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Non, ce septième épisode de Rizzoli & Isles ne revisitera pas le Da Vinci Code, mais il côtoiera un peu le monde catholique tout de même. Mêlé à celui de la librairie. La victime du jour s’appelle donc Brendan McHale. Il vendait des livres rares à prix d’or, et priait visiblement souvent. Petite parenthèse avant de commencer ce recap, le schéma type des épisodes ne bouge toujours pas après quatre saisons et sept épisodes :

 

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Schéma type d’un épisode de Rizzoli & Isles

Non franchement, avouez que ça ne bouge pas d’un iota quoi. Bon, il y a parfois des variantes. Angela vient parfois distiller quelques commentaires dans la cuisine dans la scène traditionnelle du matin. Entre le moment des appels du devoir via portable et le moment où elles se rendent sur la scène de crime, il y a parfois des petites discussions très gayzzoli (c’est le Rizzles aussi, juste un autre nom 🙂 sur les bords. Vers la fin de l’épisode aussi, souvent.

Bon, commençons.

Jane est donc chez Maura [normal], et se fait un toast. Mais Maura qui entre dans la cuisine à ce moment-là, lui jette de nombreux regards lascifs en observant son corps détaille Jane au niveau de sa tenue vestimentaire. Ça ne va pas : aujourd’hui est un triste grand jour, car Jane va rencontrer Jack ! Et Maura aimerait que Jane s’habille aussi bien pour lui qu’elle le fait pour elle. Bon. Je ne vais pas vous ressortir la sempiternelle carotte, parce que partie comme ça, je sens que je suis bonne pour planter un potager.

On devine sans peine que Maura souhaite simplement montrer à Jack qu’elle est diablement bien accompagnée dans la vie, en montrant Jane sous son meilleur jour. Mais dans le même temps, liée par son contrat à la TNT, Maura ne doit pas montrer sa relation avec Jane à Jack. Oui, en gros il s’agit pour elles de cacher l’Everest avec un mouchoir de poche.

En conservant une distance minimale de 5 mètres entre nous.. si je ne regarde pas ton corps, si tu ne me regardes pas, tout devrait bien se passer !

En conservant une distance minimale de cinq mètres entre nous… si je ne regarde pas ton corps, si tu ne me regardes pas, tout devrait bien se passer !

Mais il est temps de découvrir la victime du jour, Brendan McHale. Nos deux héroïnes se rendent sur les lieux du crime et découvrent ce pauvre Brendan, attaché à une chaise renversée sur le sol. Maura remarque que chaque doigt de la victime a été brisé. Ouch. Oui alors, pour info, le tueur faisait donc ceci à sa victime :

♫ Cinq petits doigts qui s'ennuient, s'en vont en voyage... ♪

♫ Cinq petits doigts qui s’ennuient, s’en vont en voyage… ♪

L’autopsie de Maura révèlera que ces cassages de doigts à répétition sont en fait la cause de décès de Brendan : aveuglé par la douleur, celui-ci a fini par passer l’arme à gauche. Le tueur n’avait cependant pas l’intention de tuer Brendan, puisqu’il a tenté de le réanimer en le giflant, et en lui faisant sniffer du nitrite d’amyle, un vasodilatateur [d’où l’allusion de Jane au poppers >_>]. Mais comme Brendan était déjà mort, la substance ne se trouvait pas dans ses poumons. Maura a pu toutefois en retrouver les traces dans la narine gauche de Brendan.

A la une, à la deux... à trois, je rentre !

À la une, à la deux… à trois, je rentre !

Oui donc ce tueur est tout de même un peu idiot. Il n’est pas utile de coller le produit à la narine de la personne pour qu’elle l’inhale. Quoi qu’il en soit, cette erreur aura permis à Maura de deviner les intentions du tueur malencontreux. Mais les deux jeunes femmes sont interrompues par Korsak qui amène des nouvelles supplémentaires : la scène de crime a été saccagée. Ce qui est contrariant, surtout pour Maura qui espérait pouvoir dîner avec Jane ce soir comme elle l’indique à Korsak, mais… le travail avant tout.

De retour sur les lieux du crime, l’agent en poste témoigne : il a été assommé par un homme d’assez grande stature. Étant lui-même déjà particulièrement grand pour la moyenne, Jane en déduit que l’agresseur doit être impressionnant [et fait d’ailleurs une vieille blague sur le fait d’être une girafe >_>]. Malheureusement, l’agent n’a pas eu le temps d’apercevoir le visage de l’agresseur. Jane voudrait cependant savoir ce qui pourrait motiver quelqu’un à pénétrer par effraction sur une scène de crime bien gardée. Quel objet de valeur pourrait susciter tant de prise de risque ?

Les livres de Brendan valaient cher [le premier livre que Jane prend en main est estimé à environ 7 000 dollars]. Un coffre-fort verrouillé se trouve dans le magasin de Brendan, mais Tobin, l’expert en crochetage, est indisponible pour le moment : il assiste à une convention à Las Vegas. Sur les lieux du crime se trouvait Ricky Kelly. Ce jeune homme, qui ne paie pas de mine de prime abord, était l’assistant de Brendan. En parlant de son allure, Korsak lui en fait la réflexion, ce que le jeune homme n’apprécie visiblement pas puisqu’il leur dira que…

Oh. Tu juges pas un livre à sa couverture, d'accord ?

Oh. Tu juges pas un livre à sa couverture, d’accord ?

Toujours sur la scène de crime, l’inventaire du magasin montre qu’aucun objet de valeur ne manque à l’appel. Jane en conclut que l’objet de convoitise se trouve toujours dans la pièce, et plus précisément dans le gros coffre-fort bien visible et bien fermé à triple tour. Korsak suggère même de placer deux unités de police pour surveiller le lieu du crime désormais. Donc alors, il n’était pas possible d’aboutir à cette conclusion avant cette tentative d’intrusion ? Ils avaient pourtant déjà l’inventaire à disposition, ils avaient déjà remarqué le coffre-fort verrouillé, et ils savaient que les livres valaient une blinde. Mais… bon bref.

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A propos de Alex Kidd

Ecriveuse de trucs à temps partiel. Joue aux jeux vidéo, regarde des séries TV, joue de la musique, lit parfois.. comment ça, "geekette" ? >_>

2 commentaires

  1. Bonjour arthémis : )

    Merci d’avoir laissé un commentaire, espérons que les prochains recaps soient aussi divertissants !

  2. aaaaaaaaaaaaaaaaaah, enfin des récaps comme je les aime : merci Alex.

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