Cashmere Mafia est une série américaine composée de 7 épisodes de 42 minutes. Créée par Kevin Wade en 2007 et co-produite par Darren Star (Sex & The City, Beverly Hills…) pour la chaîne ABC, elle a malheureusement souffert de la grève des scénaristes ce qui explique sa courte première saison.
L’histoire est celle de quatre amies trentenaires de longue date qui ont toutes réussi dans leur vie professionnelle. Elles tentent chacune d’équilibrer leur métier à responsabilités avec leur vie personnelle complexe. Mia Mason (Lucy Liu) est la directrice des publications de Barnstead Media et essaie de se remettre de sa récente rupture avec son fiancé. Juliet Draper (Miranda Otto) est la Chef du Bureau des Opérations d’une importante chaîne d’Hôtels. Mère d’une adolescente, elle vient d’apprendre que son mari la trompe et ne sait comment réagir. Zoe Burden (Frances O'Connor) est Directrice Générale d’une Banque d’Investissement et jongle entre son mari, ses deux enfants et ses clients. Caitlin Dowd (Bonnie Somerville), Vice Président Marking des Cosmétiques Lily Parish, se découvre quant à elle une attirance pour une jeune femme.
Baptisées « Cashmere Mafia » par les hommes qui les jalousent et ne les comprennent pas, les quatre amies partagent tout et se réunissent très régulièrement dans leur restaurant préféré.
Saison 1
Critiques Presse et Récompenses
« Alors si on récapitule, on : 4 femmes bien faites, intelligentes, fortes, touchantes … Typiquement le genre de femmes que toutes femmes aimeraient être. A priori, le processus d’identification devrait marcher. Ce pilot possède un rythme tout à fait correct et plante le décor de façon assez efficace. Les scènes où les filles se réunissent sont plus réussies que celles de Lipstick Jungle, sa principale concurrente qui commencera en Février sur NBC. On sent déjà un début d’osmose entre les actrices, c’est bon signe. Le premier bémol concerne les hommes de la série. Ils sont mignons, ils sont gentils (même celui qui trompe sa femme !). Bref, ils sont un peu trop transparents pour le moment et absolument pas charismatiques. A part peut-être le mec de Mia. La deuxième chose qui cloche: la vie professionnelle des filles n’est pas très passionnante. Une fois que l’on a compris qu’elles étaient puissantes, on n’a pas spécialement envie de les voir à l’oeuvre. C’est un peu le même reproche que pour Big Shots en fait. Ce sont leurs vies privées qui nous intéressent en premier lieu évidemment, bien que les deux soient liées. Il faudrait peut-être moins s’y attarder à l’avenir, à moins d’avoir de fabuleuses choses à raconter. Dernière chose et c’est le motif de mécontentement le plus fort: pas assez d’humour ! Quelques scènes sont gentiment rigolotes, certains dialogues sont agréablement piquants mais c’est encore trop peu. Il va falloir être plus agressif et incisif. Cela viendra peut-être avec le creusement de la personnalité de chacune des filles. » LullabyBoy
« Enfin un “drama” pour les femmes au pouvoir, Cashmere Mafia est la nouvelle série événement aux US…
Après Desperate Housewives, Lost et Ugly Betty, ABC, la chaîne américaine du groupe Disney, innove une fois de plus avec Cashmere Mafia.
Cashmere Mafia, c’est l’histoire de Mia, Zoe, Juliet et Caitlin, quatre amies de longue date qui tentent d’équilibrer leur vie professionnelle très prenante et leur vie personnelle complexe, dans la célèbre ville de New-York.
Après de brillantes études à la fac, elles sont devenues des femmes d’affaires talentueuses, dans les domaines du journalisme, de la mode, du tourisme et des finances.
Mia, Zoe, Juliet et Caitlin se soutiennent mutuellement contre le club des hommes et les jalousies des femmes.
Crée par Darren Star, Cashmere Mafia est un savant mélange entre Desperate Housewives et Sex and the City.
Dans chacun des épisodes de Cashmere Mafia, on retrouve quelques clins d’œil à ces deux séries, du personnage de Juliet, qui ressemble étrangement à celui de Bree Van De Kamp, en passant par la fashion attitude des héroïnes, inspirée de celle de Sex and the City.
Cashmere Mafia marque aussi le grand retour de Lucy Liu dans une série TV.
Après sa remarque performance dans Ally Mc Beal, Lucy Liu était passé du petit au grand écran, et notamment dans Kill Bill de Quentin Tarantino.
Diffusée depuis le 6 janvier dernier sur ABC, Cashmere Mafia réunit près de 4 millions de téléspectateurs chaque mercredi à 22h.
Et comme les téléspectateurs américains, la rédaction de Cityzens a déjà succombé au charme de Cashmere Mafia et a visionné les sept premiers épisodes!
En un mot, il est très dur de ne pas devenir accro à ce nouveau « drama ». » Emeline
http://www.cityzens.fr/Magazine/cashmere-mafia-112.aspx
« J’ai vraiment fait de mon mieux pour accrocher à cette série, mais je n’y arrive pas. Explications.
Nos quatre filles ne sont pas très convaincantes. Cashmere Mafia aura bien du mal à se trouver un nombre de fans suffisant pour survivre jusqu’à la saison prochaine.
On est dans du soap sans saveur. J’avais quelques espoirs et quelques réserves sur les quatre intrigues du pilote, maintenant je commence à avoir des certitudes. » Julien Dauchy
Article Complet
« La nouvelle série produite par Darren Star (Sex & The City), Cashmere Mafia, démarre ce soir sur ABC juste après le dernier épisode inédit de la saison 4 de Desperate Housewives avant de s’installer dès le 9 janvier le mercredi à 22h. Le créateur est Kevin Wade, scénariste du film Coup de foudre à Manhattan.
L’histoire : Quatre femmes (Lucy Liu, Frances O’Connor, Miranda Otto et Bonnie Somerville), amies depuis l’université, qui se soutiennent mutuellement en surmontant les exigences de leurs vies professionnelles et affectives.
En raison de la grève, seulement 7 des 13 épisodes commandés ont été tournés.
Les critiques sont assez partagées concernant la dramédie : Le Los Angeles Times souligne la qualité de l’interprétation et de l’écriture qui apportent de la profondeur à ce qui aurait pu n’être qu’un simple étalage des problèmes superficiels et inintéressants des riches. Le New York Times juge la série divertissante à défaut d’arriver à la cheville d’un Sex & The City. Le Washington Post est moins tendre, estimant que l’égocentrisme et l’égoïsme des personnages deviennent rapidement insupportables. Pour USA Today, les actrices font ce qu’elles peuvent, mais la série est trop insidieuse, condescendante et désagréable pour être sauvée. » Nick
Site Officiel de la Chaîne ABC (en anglais)
L'avis d'Univers-L
Scénario/Réalisation
Casting
Lez/Bi Quantité
Lez/Bi Qualité
Résumé : Une héroïne attirée par une femme. Bof...